Nous avons parlé de différentes manières de la liberté telle que nous la ressentons et la comprenons dans nos vies.
Bien sûr, suivre ses désirs ne peut pas être appelé liberté. Il vaut mieux être conscient de ses choix et en être responsable. C’est encore mieux et plus important de vivre selon les commandements du Christ et d’apprendre à contrôler ses sentiments, ses pensées et ses actions.
Tout le reste est entre les mains de Dieu. Il est notre Aide et notre Patron. Il nous délivre de l’esclavage de l’ennemi de la race humaine.
Puisque le modérateur de cette réunion était Jérémie et qu’il est un vrai Français, nous, comme on dit, avons reçu des réponses de première main aux questions de savoir comment « la liberté, l’égalité , fraternité » se portent dans son pays natal. Et bien sûr, sur la manière dont le programme de tolérance fonctionne dans la vie étatique et publique du pays. Comment il forme, dès la maternelle et l’école, l’image d’ un nouveau type de pesonne pour l’avenir de l’Europe.
Bien entendu, le thème de la liberté est inépuisable. Nous n’avons abordé que quelques questions et nous devons encore y réfléchir.
La liberté absolue existe-t-elle ?
Il m’est arrivé un jour de tenir entre mes mains le livre « Dieu est libre et lié » de Morren Lucien. Le livre exprime le point de vue du scientifique sur la foi. J’ai déjà oublié son contenu. Tout ce qui me reste en mémoire, c’est le contexte général et le titre du livre. Je me suis souvenu de ce titre à propos de la question de la liberté absolue. Si nous en parlons, cela ne peut être qu’en Dieu et nulle part ni en personne d’autre.
Alors, dans quel sens Dieu est-il lié? Nietzsche a dit un jour : « Dieu a aussi son propre enfer : son amour pour les hommes.»
Dans le véritable amour, il y a toujours une retenue volontaire, une kénose.
« Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle. »
Le véritable amour humain est toujours une kénose face à celui qu’on aime.